Envie de Thaïs.
C’était il y a deux mois environ. Thaïs posait, perchée sur ses talons, cambrée, les mains posées haut sur l’embrasure de la porte. Une robe couture, originale. Cette vision… l’envie de poser l’appareil photo. M’approcher, plaquer une main sur son ventre. Sentir la douceur de sa peau. Un contact doux et chaud. L’enlacer. Me coller contre ses fesses. La caresser à travers le tissu. Deviner sa culotte, puis l’armature de son soutient gorge. L’embrasser dans le coup, m’enivrer de son parfum. Laisser glisser ma main.
J’aime ce cliché qui ne montre rien mais nous offre la courbe de sa poitrine, la générosité de ses seins. Ce détail attire irrésistiblement mon regard, fait naitre chez moi mille sensations et autant d’envies. L'aimer, la prendre, lui faire l’amour. Nous en aller ailleurs.
Thaïs en ce moment est un peu absente, comme ailleurs. Question d’instant et de circonstances. Neuf ans après je suis toujours aussi amoureux d’elle, de sa féminité, de sa sensualité et du désir sexuel à la fois romantique et sauvage qu’elle m’a toujours inspiré et qu’elle m’inspire toujours.