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Vices de formes
17 janvier 2008

Une sieste réparatrice.

J’aime faire l’amour l’après midi, plus que le matin ou le soir. C’est comme si la journée était consacrée au plaisir. Je suis dans un état d’esprit très réceptif. Aujourd’hui la maison est vide. Il y a longtemps que cela n’est pas arrivé. Nous nous glissons sous la couette. Malgré la douceur de ce mois de décembre il fait froid dans notre chambre. Nous nous allongeons sur le côté, Thaïs derrière moi. Nos corps se réchauffent mutuellement. Nous restons ainsi un moment avant que la main de Thaïs n’aille cherche ma queue. J’ai la vision de mon corps, couché, calé, et cette main féminine qui me prend, m’enserre. Thaïs est ainsi restée très longtemps à me caresser. Sa main caresse, puis serre. Elle modifie sans cesse l’intensité de sa pression. Elle masse mon gland à travers la peau du sexe, puis me décalotte. Je me régale toujours de cette vision, de voir cette féminité s’attarder et faire subir mille choses à ma bitte. Je m’étonne même de la durée de ce préliminaire si particulier, si doux.
C’est Thaïs qui prend l’initiative de ces instants et c’est elle ensuite qui me murmure : « tournes toi vers moi ». Nous pivotons doucement. Elle m’offre ses fesses et lèvre une jambe pour me laisser accéder à son intimité. Sans pour autant la forcer je prends cette jambe pendant que Thaïs guide mon sexe jusqu’à son orifice. J’ai lu, je ne sais plus où, que l’instant même de la pénétration est l’instant le plus agréable. C’est vrai qu’il procure un sentiment de plénitude. Et je peux commencer mes vas et viens. Modifier à mon tour l’intensité et la puissance de mes coups de reins. D’une main je malaxe la poitrine de Thaïs, qui s’agrippe à mon bras, de l’autre je luis caresse les fesses. Et la puissance de mes coups de reins me permet de contrôler l’orientation de son corps, la modifier. J’adore ces instants. Et c’est souvent dans pareil contexte que je me laisse aller à lui dire qu’elle est bonne, que je la baise bien, que j’aime la baiser comme une chienne. Et je me vide en elle. Nous nous sommes ensuite endormis, l’un contre l’autre, sans bouger, pour une sieste réparatrice.

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le blog de Thaïs et Jules... ou l'alcôve d'un couple.
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